Elle fut membre, durant de longues années, du Conseil National de Fraternité Pentecôte, au sein duquel elle était responsable du Pôle “Guérison”.
Marie-Thérèse Letondoux s’est éteinte, le samedi 30 novembre 2024 à l’âge de 74 ans et dans la 27e année de sa consécration dans l’Ordre des Vierges consacrées, au terme d’une longue maladie.
La messe des obsèques était présidée par Mgr Marc Aillet, entouré de 14 prêtres, en l’église Notre-Dame de Pau, le mercredi 4 décembre 2024 à 15.00.
Avec la merveilleuse homélie de Mgr Marc Aillet, Fraternité Pentecôte vous propose l’hommage de Pierre Lemaire, des témoignages, et un lien vers une conférence que Marie-Thérèse avait donnée sur le thème de la joie.
Homélie (Mgr Marc Aillet
Évêque de Bayonne, Lescar et Oléron)
Chers frères et sœurs,
Nous sommes venus nombreux cet après-midi pour accompagner dans sa Pâque, son passage de la mort à la vie, la vraie vie, notre chère Marie-Thérèse Letondoux qui vient de nous quitter, au terme d’une très longue et douloureuse maladie : son corps reposera en Bretagne, dans son caveau familial, dans l’attente de la Résurrection finale, quand son âme, j’en suis intimement convaincu, entre dès maintenant dans la joie de son Maître.
Plus qu’un enterrement, c’est comme un « enciellement » que nous célébrons. Même si nous prions pour le repos de son âme aujourd’hui et si nous ferons célébrer des messes à son intention, dont les grâces nous reviendront si elle est déjà auprès de Dieu.
Nous avons souvent des raisons de nous lamenter sur la situation du monde ou de l’Église : chacun y va de ses insatisfactions, de ses critiques ou de ses jugements. Nous avons bien du mal à accepter les autres différents, au sein même de nos communautés chrétiennes. Et cependant, nous vivons, sans même parfois nous en accorder, avec des saints : « les saints de la porte d’à côté », selon l’expression familière du Pape François dans son exhortation apostolique « Gaudete et Exsultate – Réjouissez-vous, soyez dans l’allégresse », sur l’appel à la sainteté dans le monde actuel (2018). Le temps de l’Église, avant d’être le temps des crises et des réformes nécessaires, est toujours le temps des saints !
En pensant à la vie de Marie-Thérèse, que j’ai si souvent côtoyée, dans le groupe des Vierges consacrées du diocèse – nous nous retrouvons deux journées par an –, et en particulier ces derniers mois, où sa maladie s’est aggravée, sans espoir de guérison, ces paroles du pape François dans son exhortation apostolique résonnent fortement dans mon cœur : ” J’aime voir la sainteté dans le patient peuple de Dieu : chez les parents qui éduquent avec tant d’amour leurs enfants … chez les malades, chez les religieuses âgées qui continuent de sourire. Dans cette constance à aller de l’avant chaque jour, je vois la sainteté de l’Église militante.”
C’est cela, souvent la sainteté ‘’de la porte d’à côté’’, de ceux qui vivent proches de nous et sont un reflet de la présence de Dieu … Laissons-nous encourager par les signes de sainteté que le Seigneur nous offre à travers les membres les plus humbles de ce peuple » (Gaudete et Exsultate nn. 7-8). Oui, s’il est vrai que l’on meurt comme on a vécu, Marie-Thérèse a vécu le long temps de sa maladie et en particulier ces derniers mois, comme une sainte, vivant jusqu’au bout, en vérité, sa consécration comme vierge consacrée du diocèse de Bayonne.
Les lectures qu’elle a choisies pour sa messe d’obsèques, nous disent quelque chose de sa vie et de sa foi. Ces paroles du prophète Osée disent tellement bien ce qui a été l’amour de toute sa vie : « Tu m’appelleras : ‘’Mon époux’’ … Je ferai de toi mon épouse pour toujours, je ferai de toi mon épouse dans la justice et le droit, dans la fidélité et la tendresse’’ » (Os 2, 21-22).
Lorsque je l’ai visitée, la veille de sa mort, où elle semblait déjà inconsciente, je lui ai glissé à l’oreille : « Jésus votre époux vient vous chercher, et il y aura grande fête au Ciel », et elle a ouvert un œil. Quand le Père Michel lui a donné la communion, comme si souvent ces derniers mois, l’avant-veille de sa mort, où elle a eu un moment de vraie présence, elle a dit : « Merci, Jésus, gloire à toi », oraison jaculatoire qui jaillissait si souvent de son cœur sur ses lèvres. La joie a été une constante de toute sa vie, d’où le nom du groupe de prière qu’elle avait intégré : « Réjouissez-vous ».
Cette joie n’était pas feinte, elle l’a conservée jusque dans la souffrance, le sourire aux lèvres, jusqu’au bout, chaque fois qu’elle recevait quelqu’un. Sa joie intérieure était rayonnante. A travers son témoignage, on comprend la vérité des paroles de Jésus dans la huitième béatitude, la béatitude des persécutés pour la justice, que le pape François a précisément choisies comme titre de son exhortation sur l’appel à la sainteté : « Réjouissez-vous, soyez dans l’allégresse ». Elles rejoignent aussi les paroles de saint Paul aux Philippiens, si caractéristiques de ce temps de l’Avent : « Réjouissez vous toujours dans le Seigneur … Le Seigneur est proche » (Ph 4, 4-5).
Il est en effet significatif qu’elle ait rendu son dernier soupir, le samedi 30 novembre vers 18 h 30, à l’heure des premières Vêpres du premier dimanche de l’Avent : elle qui ne se faisait plus d’illusion sur l’issue de son mal depuis quelques mois et qui était totalement abandonnée à la Volonté du Seigneur, attendait la venue de son Epoux : « Voici l’Epoux, sortez à sa rencontre » (Mt 25, 6), dit Jésus dans la parabole des vierges sages dont elle faisait partie.
L’Avent, c’est le temps béni où l’on sait dans la foi que Jésus Sauveur est déjà venu, qu’il vient sans cesse nous visiter par sa grâce, et dont la promesse de son retour nourrit notre espérance. Sa spiritualité était angélique, toute de louange, à la manière charismatique, comme elle en témoignait pendant les longs temps d’action de grâce qui suivaient ses communions quotidiennes, des versets de psaumes émaillant sa prière spontanée, psaumes qu’elle récitait fidèlement chaque jour dans son psautier de vierge consacrée.
La joie est un fruit authentique de l’Esprit Saint dont elle avait fait une expérience si intense dans le Renouveau charismatique, qui a été la grande aventure de sa vie, elle qui avait fait partie de l’équipe nationale de la Fraternité Pentecôte qui lui tenait tant à cœur. La gratitude et la reconnaissance étaient caractéristiques de la personnalité de Marie-Thérèse. Elle disait continuellement merci au Seigneur, jusque dans la souffrance, par exemple, comme on me l’a rapporté : « Merci Seigneur pour l’Église, pour l’évêque, pour l’Eucharistie, pour tous ceux qui s’occupent de moi… ». Elle remerciait tous ceux qui l’accompagnaient ou bien la visitaient.
Le dimanche qui a précédé sa mort, elle a connu une crise de douleur où elle souffrait le martyre ; quand l’infirmière est arrivée, elle a dit spontanément : « Je veux vous remercier, parce que vous vous occupez de moi », et elle en a profité pour remercier toutes les personnes présentes. Nous ne pouvons pas passer sous silence tous ceux qui l’ont accompagnée tout au long de sa longue maladie : Véronique, qui a été présente auprès d’elle depuis quatre ans comme une sœur, et quasiment vingt-quatre heures sur vingt-quatre ces derniers temps : c’est dans ses bras qu’elle a rendu l’âme ; les frères et sœurs de Réjouissez-vous, son groupe de prière ; les vierges consacrées du diocèse, en grande communion avec elle ; des prêtres, en particulier le P. Michel de Lagrasse, très présent auprès d’elle ces derniers temps, qui a tissé avec elle des liens de grande amitié spirituelle, édifié par une si belle âme ; et beaucoup d’autres amis qui l’ont accompagnée fidèlement et dans la discrétion.
Soyez sûrs qu’elle intercèdera pour vous désormais et vous aidera à surmonter, dans la joie et l’action de grâce, l’épreuve du deuil et de la tristesse. Elle a embrassé la croix dans un grand esprit d’offrande à l’amour miséricordieux de son Jésus, à l’instar de sa grande patronne céleste, la Vierge Marie qui nous apprend à nous tenir debout dans la foi au pied de la croix, et de sa petite patronne céleste Thérèse de l’Enfant Jésus et de la sainte face.
Un jour, dans son action de grâce après la communion, elle a dit à voix haute : « Jésus, je t’offre chacun de mes os qui me font tant souffrir ». Et elle répétait souvent : « Nous te glorifions Seigneur, car tu as racheté le monde par ta sainte croix », comme nous le disons à chaque station du chemin de croix. Elle souffrait beaucoup, jusque dans sa chair meurtrie, des blessures à l’unité, des disputes, des critiques ou des germes de division, elle qui avait un grand esprit d’ouverture à toutes les sensibilités, même celles qui n’étaient pas la sienne.
Comme vierge consacrée, la plus ancienne forme de vie consacrée dans l’Église, qui est dans un diocèse le signe de l’Église – Epouse, elle tenait à avoir un lien privilégié avec son évêque, signe du Christ Epoux ; et je sais avoir toujours pu compter et pouvoir compter encore sur sa prière et son esprit de communion affective et effective. Puisse son sacrifice, son offrande d’amour être source d’unité au sein de notre Église diocésaine. L’Église est une, sainte, catholique et apostolique : par sa virginité consacrée, elle en a été le signe éloquent par toute sa vie et en particulier dans son ultime combat.
L’Évangile de la Résurrection, qu’elle a choisi pour sa messe d’obsèques, est la Bonne nouvelle qu’elle nous laisse à tous pour nous encourager à demeurer fermes dans la foi et à ne jamais nous laisser troubler, quels que soient la dureté des temps et le tragique de l’existence. Elle nous redit les paroles de l’Ange aux saintes femmes toutes tremblantes : « Vous, soyez sans crainte ! Je sais que vous cherchez Jésus le crucifié. Il n’est pas ici, car il est ressuscité, comme il l’avait dit … Vite, allez dire à ses disciples : ‘’Il est ressuscité d’entre les morts et voici qu’il vous précède en Galilée’’ » (Mt 28, 5-6).
On peut dire que la passion de sa vie est contenue précisément dans ces paroles de l’Évangile : « Vite, elles quittèrent le tombeau, remplies à la fois de crainte et d’une grande joie, et elles coururent porter la bonne nouvelle à ses disciples » (Mt 28, 6-8). Ce sont les femmes précisément, telle Marie-Madeleine, qui sont les premiers témoins de la Résurrection, assumant ainsi de manière très particulière la dimension prophétique de l’Église. C’est le témoignage que Marie-Thérèse nous donne, un témoignage de vie qui nous encourage dans la foi et l’espérance et nous exhorte à être nous aussi des témoins cohérents et crédibles du grand mystère de la mort et de la Résurrection du Christ, appelé à s’accomplir concrètement dans notre vie comme il s’est accompli de manière si pleine dans la sienne.
Alors, que le Seigneur exauce pour elle la prière du psalmiste que nous avons méditée : « J’ai demandé une chose au Seigneur, la seule que je cherche : habiter la maison du Seigneur tous les jours de ma vie, pour admirer le Seigneur dans sa beauté et m’attacher à son Temple » (Ps 26, 4). Chers frères et sœurs, écoutons à nouveau les paroles de l’Apôtre Paul et gravons-les dans notre cœur : « Réjouissez-vous toujours dans le Seigneur, je le redis : réjouissez-vous. Que votre bienveillance soit connue de tous les hommes. Le Seigneur est proche … Et la paix de Dieu qui surpasse tout ce qu’on peut concevoir, gardera vos cœurs et vos pensées dans le Christ Jésus » (Ph 4, 4-5. 7). Amen
L’hommage de Pierre Lemaire
Toc ! Toc ! Toc ! « Oui, dit saint Pierre. Ah, c’est toi, Marie-Thérèse Letondoux. C’est pourquoi ? »
« Saint Pierre, mon corps m’a lâché, alors me voilà. »
« Voyons, on m’a déjà parlé de toi. » « Ah ! »
« Quelle drôle de retraitée tu étais. Parlons de tes occupations dans le Renouveau Charismatique. Par exemple à la Fraternité Pentecôte. Toujours là, présente, attentive, et réactive. Et même, l’Esprit Saint m’a dit que tu avais un bon discernement au sujet des personnes, un sens aigu de la vision des réalités et des projets en chantier. Et cela était une grande aide pour tous. Tu savais parler aux uns et aux autres pour les inviter à aller de l’avant, à s’engager là où il y avait besoin, car tu avais perçu qu’ils avaient des qualités humaines et spirituelles pour tel ou tel service.
Bien sûr, on m’a parlé de ton amitié longue et profonde avec la Communauté de l’Alliance de Trois Rivières au Québec. Quand tu as su que, là bas, elle organisait des formations à la prière pour demander la guérison, tu n’as pas voulu y aller seule. Le premier que tu as entraîné, y est allé, surtout parce qu’il te faisait confiance. Il n’est pas rentré déçu ; il me l’a dit. Avec quelques uns de la Fraternité Pentecôte au début, puis avec tous ensuite, tu as été la cheville ouvrière des sessions de formation à la prière pour demander la guérison. Et là, comme à toutes les autres sessions, ils ont goûté à la grâce de douceur et de paix évangélique de cette communauté. Ainsi tu as contribué à lancer la Fraternité Pentecôte dans cette aventure de la prière des frères et de celle des retraites de guérisons intérieures. Quelle évangélisation !
Oui ! Continue saint Pierre, je sais tes talents de fonceuse, d’entraîneuse, ta vigilance pour suivre ce que as entrepris avec d’autres, et ton sens affiné pour écouter et accompagner les personnes.
Mais quand on m’a dit que tu étais bretonne, élevée à la dure, alors j’ai tout compris de tes qualités de sobriété de vie et de ténacité. D’ailleurs ta terre natale est sous la protection de mon ami l’archange saint Michel qui tient en échec les tempêtes qui assaillent le monde.
Ta demeure était sans cesse ouverte à tous « Quel accueil m’a-t-on dit ! ». Et à coté, il y a toujours la maison de la joie où les louanges retentissent et les guérisons se suivent ; car s’était comme ta seconde résidence.
Cependant il m’a été dit aussi que tu avais le verbe ferme, et parfois cash. J’ai eu des échos que d’aucuns ont eu de la difficulté avec cela. Tu le savais ? »
A ce moment de la discussion, Jésus s’approche.
« Ne t’inquiète pas pour cela, saint Pierre, je gère. Voici d’ailleurs ce que l’on m’a dit d’elle : « Je suis reconnaissant à Marie-Thérèse de garder toujours son sourire de douceur et de calme en toute circonstance et d’avoir pris ceux qui soufrent dans sa prière ».
Enfin je te le confirme : son cœur à cœur avec moi était incessant, son amour intime puissant. Saint Pierre, je suis heureux de la vie de cette vierge consacrée. Avec moi, elle a toujours eu le ton doux ». De la part de la Fraternité Pentecôte : Marie Thérèse, merci.
Des témoignages
Hello les chéris du Seigneur, comme le dirait Jean-Baptiste ! Notre chère sœur est partie rejoindre son Seigneur, samedi, après des mois de souffrances vécues dans une paix et un abandon, qui nous ont tous enseignés et édifiés ! Nous avons été particulièrement émus, Etienne et moi, de recevoir un courrier d’elle la semaine dernière (en date du 21 novembre) ou elle nous assurait de sa prière et envoyait un chèque de 1000 € pour la Frat’ Pentecôte. C’était un mot dicté par elle et seulement signé d’une écriture tremblante et malhabile… Les funérailles seront célébrées mercredi après-midi à Pau, par Mgr Aillet, et une petite délégation de la Frat sera présente, avec Pierre et Françoise Lemaire, Marie-Chritine Issartier et Claude Turk. Merci à eux de tous nous représenter. Son intercession du ciel sera puissante, nous n’en doutons pas ! Je vous embrasse fraternellement. (Marie-Hélène)
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Je rends grâce avec vous pour l’amour du Seigneur manifesté sur sa vie en plénitude ! Quelles résurrections la vie de Marie Thérèse portait ! Qu’une grande action de grâces monte mercredi de l’église Notre Dame de Pau… Là où l’action de grâces monte les miracles adviennent ! Avec vous tous ! Embrassez pour nous son cercueil !” En communion de cœurs….avec toutes nos “frat’ Pentecôte” Nous l’aimions beaucoup notre chère petite sœur si fidèle, si pleine de Foi et de Feu. Nul doute que son nom est inscrit dans les Cieux : nous nous y retrouverons un jour dans une folle Espérance. 1000 bizzz fraternelles et merci à tous…. (Odile et Jean-Baptiste)
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Merci Seigneur pour le chemin de Marie-Thérèse qui s’est tricoté, plus ou moins selon les circonstances de notre vie, avec le nôtre. Je rends grâce pour son écoute de l’Esprit-Saint qui a donné une impulsion nouvelle à la Fraternité Pentecôte et a élargi l’espace de la tente de FP par la collaboration avec Denise et la relecture des classeurs validés par les évêques accompagnateurs du Renouveau. C’est un énorme travail de l’ombre qui développe encore ses fruits. Une petite âme qui intercédera puissamment pour les accueils prières, poursuite de son envoi sur terre. Tout pour la Gloire de Dieu ! (Georgette)
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Marie Thérèse, tu as vraiment mené un grand combat, avec constance, persévérance et grande espérance. Combat contre le mal sous toutes ses formes. C’est toi qui est allé au Canada, puis nous as fait inviter la communauté de l’Alliance, pour lutter contre tous les obstacles à la Vie dans l’Esprit. Nous n’imaginions aucunement l’importance que cela prendrait dans notre Fraternité… Ce mal, tu l’as aussi affronté d’une autre manière, contre le cancer. Epreuve combien terrible lorsque l’on tombe aux mains des protocoles de soins et que l’on perd son autonomie. Ta douceur n’était pas naturelle, mais le fruit (Gal 5.22) de ce combat mené avec la force de l’Esprit. Fruit aussi de la constance et de la persévérance dans l’engagement régulier à la prière, à la relecture de vie, de ta vie de consacrée. Maintenant, et puisque la mort ne peut séparer les enfants de Dieu, =continue donc de veiller sur notre constance et persévérance afin que nous gardions une grande espérance et que nous puissions en toutes circonstances, rester joyeux et prier sans cesse (Th 5.16). (Pierre, et Mimi qui se joint à moi)
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Vos messages sont touchants de fraternité, voire d’amour ! Marie Thérèse a rejoint entre autres tous les membres décédés de Frat Pentecôte…c’est génial de l’imaginer. Ils ont dû l’accueillir dans la louange et le chant en langue( obligé) glossolalie pour les intellos ! Et nous il nous reste à louer le Seigneur pour cette “petite bonne femme ” qui savait ce qu’elle voulait et qui intercède pour que nous continuions le travail que nous a confié notre bien aimé Seigneur de Gloire, Amen! Soyons bénis et encouragés par son exemple. (Louis-Michel et Marie-France)
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“Soyez toujours dans la joie du Seigneur ; je le redis : soyez dans la joie. Que votre douceur soit connue de tous les hommes. Le Seigneur est proche. Ne soyez inquiets de rien, mais, en toute circonstance, priez et suppliez, tout en rendant grâce, pour faire connaître à Dieu vos demandes. Et la paix de Dieu, qui dépasse tout ce qu’on peut concevoir, gardera vos cœurs et vos pensées dans le Christ Jésus. (Ph 4, 4-7) Ces versets me viennent en pensant à ce qu’elle était sur terre, à ce qu’elle est au Ciel : la douceur, même dans l’épreuve. Le ton doux : elle portait bien son nom notre Marie-Thérèse. (François et Elisabeth)
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Marie-Thérèse, le visage éclairé par son sourire limpide, paisible et tellement bon, a rejoint le Père. Merci, Marie-Thérèse pour ce que tu nous as donné. Quelle leçon de paix et de sérénité dans l’épreuve. Tu as rejoint nos anciens et anciennes de Frat’Pentecôte qui nous ont précédés sur ce chemin, ils doivent louer le Seigneur ensemble, unis dans une fraternité et une joie éternelle. Merci Marie-Hélène pour ton superbe message, grâce à toi nous pourrons nous unir par la prière aux funérailles de Marie-Thérèse et à toute la Fraternité Pentecôte d’avant et d’aujourd’hui, dans la bénédiction du Seigneur, qu’il nous garde unis dans sa Paix et dans son Amour. (Michèle et Yves)
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Bonjour à toutes et à tous, Patrice nous a informés de cette nouvelle sur le groupe Whatsapp… J’y avais fait une demande que je réitère ici…“Je rends grâce avec vous pour l’amour du Seigneur manifesté sur sa vie en plénitude !” Quelles résurrections la vie de Marie Thérèse portait ! Qu’une grande action de grâces monte mercredi de l’église Notre Dame de Pau.. Là où l’action de grâces monte les miracles adviennent !! Avec vous tous ! Embrassez pour nous son cercueil !” A très vite et montons toutes et tous ensemble à Bethléem (Christian)
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Je suis reconnaissant à Marie-Thérèse de garder toujours son sourire de douceur et de calme en toute circonstance et d’avoir pris ceux qui soufrent dans sa prière. Marie-Thérèse prie nous maintenant ! (Claude)
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Bonsoir à tous, je confirme que Marie Thérèse a vécu son épreuve dans l’abandon. Quelques personnes de la communauté Réjouis toi étaient à l’inhumation de sa sœur Clotilde et ce jour malgré sa maladie, elle avait fait plein de démarches pour sa sœur et tout préparé. Nous avions admiré son courage. Il y a environ 1 mois, elle m’a demandé de prévoir une célébration à Hirel pour sa sœur Maria et ceux de sa commune d’origine qui ne pourront se déplacer à Pau. Nous serons tous en communion par la prière. Je le crois, son intercession sera puissante, elle a tant donné pour le Renouveau. Fraternellement. (Colette)
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Comme beaucoup, je suis émue par le départ de Marie-Thérèse. Tous les souvenirs affluent depuis 1987. Dieu est bon de nous avoir permis de vivre tant de belles choses ensemble. Elle rejoint tous ceux qui, de la Frat’, nous ont quittés pour le Ciel. Ils se tiennent sans cesse sur la brèche dans la louange. (Sr Hu-Do)
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Je garde un excellent souvenir de Marie-Thérèse. Toujours avec le sourire, pleine de douceur et de calme . Je suis certaine que le Seigneur l’a accueillie les bras largement ouverts. Fraternellement. (Joëlle)
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Merci pour tout Marie-Thérèse. Merci pour tous les moments vécus ensemble dans cette belle Fraternité, chez toi à Hirel. Merci Seigneur de nous l’avoir donnée ! Jeannine a encore eu le bonheur de communiquer par téléphone avec elle il y a une quinzaine de jours. Bien que très affaiblie elle était très heureuse et nous assurait une fois de plus de sa prière. Elle rejoint sa chère sœur Clothilde, René Mandiburu et nos frères et sœurs de la Frat’ vivants dans la Communion des Saints. Je n’ose imaginer leur accueil ! Leur intercession est sans nul doute puissante. Bises fraternelles à vous. Tous en UDP. (Dominique et Jeannine)
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Ce départ me touche tout particulièrement. Je rends grâce à Dieu d’avoir connu Marie-Thérèse et d’avoir passé de si bons moments avec elle. Des moments où nous avons appris ensemble à mieux connaître notre Seigneur, à faire l’expérience de sa présence de Ressuscité à chaque instant de notre vie. Maintenant sa vie continue autrement mais toujours dans la louange, les chants et les danses. En union de prière avec vous tous. (Liliane)
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J’ai peu connu Marie-Thérèse, mais j’ai pu apprécier cette personne, elle était rayonnante de Joie. Fraternellement. (René)
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Conférence de Marie-Thérèse,
sur le thème de “la joie”,
donnée à la Rochelle, le 13 mai 2018. ICI
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